Accueillir notre prochain, à l’image de Jésus
L’accueil que Jésus offrait à ceux qui l’entouraient a laissé une empreinte profonde dans les mémoires. Que ce soit en prenant les petits enfants dans ses bras ou en posant un regard bienveillant au milieu de la foule, chacun était reçu avec attention. Avant lui, Abraham avait également marqué les esprits par son hospitalité. Dans le livre de la Genèse (Gn 18), lorsqu’il aperçoit trois étrangers s’approcher, il n’hésite pas : il court à leur rencontre, s’incline devant eux, et les invite à se reposer sous un arbre.
Il leur offre de l’eau pour se rafraîchir et un festin préparé avec soin. Ce geste d’accueil est d’autant plus frappant que, selon la tradition juive, Abraham venait tout juste de se faire circoncire et qu’il faisait une chaleur écrasante
– autant de raisons qui auraient pu justifier qu’il reste immobile.
Pourtant, Dieu s’est révélé à lui à travers ces visiteurs, se manifestant comme un partenaire dans cet acte de générosité. En tant que chrétiens, nous sommes nous aussi appelés à accueillir l’autre, même si cela nous dérange ou nous perturbe. Cet “autre” est souvent le plus pauvre, mais il peut aussi être notre frère ou notre sœur. Certes, nous avons souvent de bonnes excuses pour ne pas le faire.
Mais ne risquons-nous pas ainsi de manquer la visite de notre Seigneur ?
Jésus nous le rappelle clairement : « Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. » (Mt 25,40).Il arrive que nos communautés, elles aussi, soient hermétiques aux nouveaux venus ou aux plus démunis. Cela peut s’expliquer par un emploi du temps chargé, ou tout simplement par la force des habitudes.
Heureusement, certains parmi nous prennent le temps, en semaine ou lors des messes dominicales, d’accueillir dans nos églises. Merci à eux et à tous ceux qui se sentiront appelés à offrir un peu de leur temps pour ce service.
– autant de raisons qui auraient pu justifier qu’il reste immobile.
Pourtant, Dieu s’est révélé à lui à travers ces visiteurs, se manifestant comme un partenaire dans cet acte de générosité. En tant que chrétiens, nous sommes nous aussi appelés à accueillir l’autre, même si cela nous dérange ou nous perturbe. Cet “autre” est souvent le plus pauvre, mais il peut aussi être notre frère ou notre sœur. Certes, nous avons souvent de bonnes excuses pour ne pas le faire.
Mais ne risquons-nous pas ainsi de manquer la visite de notre Seigneur ?
Jésus nous le rappelle clairement : « Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. » (Mt 25,40).Il arrive que nos communautés, elles aussi, soient hermétiques aux nouveaux venus ou aux plus démunis. Cela peut s’expliquer par un emploi du temps chargé, ou tout simplement par la force des habitudes.
Heureusement, certains parmi nous prennent le temps, en semaine ou lors des messes dominicales, d’accueillir dans nos églises. Merci à eux et à tous ceux qui se sentiront appelés à offrir un peu de leur temps pour ce service.
Pierre +